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Un aparté pour parler des biographies ... 

C'est un volet important, il y a toujours une part de soi dans chaque écrit, même si la destination et le nom du document sont différents, on y met automatiquement une part de soi. 

Mais la biographie, c'est particulier.

Littéralement, "biographie" vient de l'ancien grec βίος  (bíos),       « vie » et γραφή (graphè), « écrit ». 

Je prévois toujours un entretien initial pendant lequel je m'entends toujours dire la phrase : "Confier sa mémoire n'est jamais un acte anodin." Puis j'explique pourquoi. 

Je sais que parfois, on ne sait pas par où commencer, on se décourage quant au "classement" des récits, on voudrait mais on n'ose pas. Ou on est déterminé, on sait quelles périodes traiter, on laisse venir les choses ou on a sa technique de progression et d'ailleurs, on a déjà commencé. 

Le récit de vie, individuel ou collectif, permet de laisser une trace aux générations futures, une trace de soi qui peut avoir mille raisons, la meilleure étant la vôtre.

 Il est le témoignage d'une mémoire familiale ou territoriale, et peut être un support de recherches généalogiques. Écrire ses mémoires est non seulement un joli cadeau à faire à ses descendants ou à un territoire, mais c'est aussi un excellent moyen de renforcer sa confiance en soi et de faire le point sur sa vie. Car cela ne sert pas seulement à s'exprimer ou à figer, mais suppose aussi de mettre les évènements à distance de soi. On peut le faire de plusieurs façons. Les offres ne manquent pas et doivent répondre à votre vision des choses, d'autant qu'elles sont modulables à l'infini. 

Le faire avec un écrivain public, c'est savoir que cette "plongée à coeur" se fera tranquillement, guidée en confiance. C'est être certain(e) de réaliser toutes les étapes. Avec un(e) professionnel(le) qui libèrera votre parole par un échange sans jugement, vous accompagnera avec bienveillance. À vous de choisir celle ou celui qui vous accompagnera pour cette belle aventure. Vous chercherez son éthique, son style et condition sine qua non : l'envie de travailler ensemble. 

Il ya toujours un entretien préalable (gratuit) pour échanger. Définir le projet, avoir des réponses techniques et financières est indispensable. Souvent, cela fait peur. On pense qu'un professionnel coûte cher. Un non professionnel, aussi, voire plus. 

Tout dépend de votre projet. Avez-vous écrit ? Ou pas ? Avez-vous besoin d'une correction-relecture ? D'un accompagnement partiel ou total ?  Dans tous les cas, le travail ne s'arrête pas à l'entretien. Rares sont les biographes qui facturent au réel, car on compte une moyenne de quatre à cinq heures de travail après chaque entretien. Et si les prix s'entendent sans TVA, l'Urssaf, elle, ne nous oublie pas.  

C'est là la nécessité de dialoguer avant afin de bien identifier de quoi vous avez besoin pour mener votre projet à terme, permettre un devis adapté et au point avant de commencer, donc sans surprise. Vous trouverez écoute, qualité, expérience. Et cet entretien ne court que le risque de rendre, finalement, votre projet possible. 

Parlons-nous.